La quatrième langue nationale, parlée par 60 000 personnes, s’attend à davantage de visibilité grâce à «son» élu, Martin Candinas, président du Conseil national pour un an. Le romanche, une langue vivante? La question est bien entendu purement rhétorique. Mais elle illustre un sentiment éprouvé par certains dans la communauté: celui d’être marginalisé, méconnu, cantonné à une simple attraction touristique. Lisez plus: